vendredi 11 août 2017

Etape 21 Dijon – Vénaray-les-Laumes (proximité Aléria) ; vendredi 11 août 2017

J25 Etape 21 Dijon – Vénaray-les-Laumes (proximité Alésia) ; vendredi 11 août 2017
Distance
69km
Dénivelé
360m
Durée de pédalage
4h20
Moyenne
15,7Km/h
Département(s)
Côte-d’Or (21)
Région(s)
Bourgogne-Franche-Comté

Ah la vache !



Dijon
Mais quel froid ! 14° le matin, 20° l’après midi en plein cagna. Et ce vent, toujours de face et toujours aussi glaçant. Peut-être est-ce ce vent, peut-être est-ce ce froid qui me fatigue. Je n’avance pas. Le vent me freine, le revêtement de la route me freine, les côtes me freinent. Je crois que je suis un frein. Ce n’est pas ma journée. Ce matin, je voulais poster ma journée de mercredi 9 que j’avais écris hier soir dans la tente. Alors, je plie la tente, le range mes sacs, je sangle le tout sur mon vélo et je roule jusqu’à l’accueil, jusqu’à la zone Wifi. Là, je déballe le PC, les câbles et tout le toutim. Et je m’installe sur une table. Je démarre le bousin, et pas de connexion internet. Je grille en tout une petite heure en pure perte. Ces histoires de Wifi sont très contraignantes. J’y passe un  temps fou avec les mots de passe, les routeurs
à redémarrer, la portée de toute évidence trop faible de la carte Wifi dans mon PC portable, les débits ridicules demandant un temps fou pour se connecter, et plus encore pour télécharger les photos sur le blog. Bref, c’est une galère terriblement chronophage. Le prochain coup, il faut que j’acquière une carte 4G pour mon PC afin de me libérer de ces contraintes. Bref, ce matin je passe beaucoup de temps pour absolument rien. Et ça me mets un peu en rogne.

Suite à mes péripéties hors pistes de ces derniers jours, je mets Google Maps en mode routeur voiture : je fais 100 mètres, et je recule. Ça circule trop sur cette rue. Alors hop, je bascule en mode routeur vélo. Et aujourd’hui force est de
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reconnaître que Google à été parfait. Je n’ai eut qu’à me satisfaire de ces choix de routage. J’ai eut droit à des pistes cyclables roulante le long de l’Ouche et de son canal. 20 kilomètres de bonheur suivis de la D905 que j’ai décidé d’adopter. Elle me plait cette départementale : pas trop de monde, une belle campagne, de belles vaches, de beaux champs, de bonnes odeurs de terres fraichement labourées. Je l’adopte. Et je remballe mon SmartMachin. Pas reconnaissant le gars ? Soit, mais la route me convient et je n’ai plus à me soucier du routage. Bien que j’aurai préféré une route plus Ouest, je vais opter pour la solution simple et efficace : suivre les bornes D905.

Si en plus c'est sponsorisé par le Tout Puissant !






A travers les paysages vallonnés de champs et de ruminants, j’ai aujourd’hui découvert la perle rare : la reine des vaches. Sorte de Top Modèle Bovin. Passant devant, j’ai flashé net. Je me suis arrêté et j’ai été la voir. Au début farouche, la belle a finis par succomber à mes flatteries, et est venue causer un peu. Mheu. Ah de la vache Française Monsieur, et Top Modèle de surcroit, c’est autre chose que la vache Suisse. C’est plus instruit ; On sent tout les apports de Descartes, Pascal et Voltaire la dedans. De la qualité Française Monsieur. De la belle vache de concours, de l’élégante et de l’instruite. De la vache de salon.
Après une longue conversation nous nous séparâmes à regret en Beuglant notre désir de se revoir.



La beauté bovine... Mais quelle est donc cette race ? (les connaisseurs peuvent envoyer un commentaire)












Ces fleurs sont-elles des Bleuets ?

Alésia


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